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 Irroüs Atyckom

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Irroüs Atyckom
/!\Pervert'KinG/!\
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Irroüs Atyckom


Masculin
Nombre de messages : 2375
Age : 41
Localisation : Cela demeure un mystère...
Date d'inscription : 08/04/2007

Feuille de personnage
Race: Lupin
Armes: Longue faux dans son dos.
Pouvoirs: téléportation et contrôle des catastrophes naturelles

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MessageSujet: Irroüs Atyckom   Irroüs Atyckom Icon_minitimeLun 9 Avr - 9:52

~¤~ Général ~¤~


Nom : Atyckom

Prénom : Irroüs

Age : 27 ans

Sexe : Masculin

Race: Lupin

Clan: Nomade

~¤~ Physique ~¤~


Taille : 1 mètre et 82 centimètres

Poids : 66 kg

Description Physique : La transformation d'Irroüs l'a beaucoup affecté physiquement. Alors qu'il était un grand elfe à la peau très pâle, son dos s'est peu à peu vouté pour adopter la posture de l'animal. Ses doigts se sont allongés, terminant par de longs ongles plutôt affilés. Sa musculature est devenue de plus en plus saillante, surement du à sa perte de poids importante. Son visage s'est encore plus affiné, révélant ses pommettes et sa mâchoire puissante. Seul ses cheveux ébouriffés n'ont jamais bougés. Il possède toujours deux grands yeux perçants et sombres à la fois, des lèvres rouge sang, deux couleurs qui ressortent étrangement devant la pâleur de son teint.
Lorsqu'il se transforme, Irroüs devient un bête solitaire, et rares sont les personnes ayant vu sa nouvelle forme. On ne se souvient que de son oeil, tout aussi féroce qu'effrayant. On peut y lire à la fois la haine, la mort et le désespoir...


~¤~ Mental ~¤~


Caractère : Sensible, curieux de tout, très solitaire depuis la morsure et bon-vivant malgrès tout quand il reprends forme humaine. Il s'attire à la fois la sympathie et la méfiance d'autrui. Il peut s'avérer très rancunier et agressif quand la situation n'est plus à son avantage. Il n'est plus la personne que ses amis connaissaient, même s'il a gardé un partie de sa personnalité après la transformation.

Votre Personnage Aime : Le sang, comprendre, la solitude, fleurter avec la mort. Il garde un goût prononcé pour les femmes, l'alcool et l'ambiance de la nuit.

Votre Personnage Déteste : L'insatisfaction, la précipitation, la vulgarité, le clair de lune, et ce qu'il est devenu...

Qualités : Curieux, rêveur, imaginatif, subtil, débrouillard, méticuleux.

Défauts : un peu égoïste, imposant, fainéant, très impatient, sauvage et agressif.

~¤~ Histoire ~¤~


Cette histoire commença par une triste nuit d’hiver… C’était deux heures avant l’aube et ma mère sortait d’une beuverie sans précédent. Faut dire qu’il fallait me supporter, je n’arrêtais pas de bouger, de taper, de faire mal, alors pour oublier sa douleur, elle s’était de nouveau réfugiée dans l’alcool.
Mais moi je n’ai jamais vraiment aimé être prisonnier, même de ma mère, c’était insupportable. Je voulais sortir, en finir, c’était quitte ou double : la mort ou la liberté. Cela ne faisait que sept mois que j’avais été conçu, et à peine un depuis que j’en étais conscient, mais c’était maintenant, ici, ou alors jamais.
Ma mère n’eut donc pas d’autres choix que de s’effondrer sous le poids de sa souffrance. Malgré les relents de d’alcool elfique, elle ne put s’empêcher de laisser s’échapper un long hurlement, à croire que la boisson n’est pas un si bon anesthésique. Mais personne ne vint à son secours, tout le monde avait eu vent de sa sombre réputation, et il était encore bien trop tôt pour que la rue soit pleine de commerçants, vagabonds et promeneurs en tout genre.
Elle accoucha donc, seule face à elle-même, au milieu des ténèbres de la nuit, mais cela la rassurait quelque part, elle était dans son milieu et personne n’était spectateur de sa soumission : elle n’avait pas à subir le regard des autres face à son déshonneur. Le seul épisode de sa vie où elle n’était plus vraiment maitresse d’elle-même et où elle n’avait plus le contrôle sur tout ce qui l’entourait. Elle avait du me le reprocher le reste de son existence…

Me voilà à présent du haut de mes quatre frêles années, aussi sec qu’un fil de pêche, osant tenir tête à ma soi-disante mère, qui n’avait d’ailleurs que le nom qu’à cause du fait que c’était le même sang qui coulait dans nos veines. Dieu qu’est ce que je pouvais la haïr. Mais inconsciemment, je n’espérais qu’une seule chose, qu’enfin elle soit fière de moi et qu’elle ne me voit plus comme le petit rat qui lui a gâché sa vie… Et encore, c’était peu dire, depuis que j’étais à ses côtés, elle était la risée des elfes noirs, connues parmi eux comme la traître qui a osé s’amouracher d’un faible et insignifiant petit humain, mon père, qu’elle n’avait pas hésité une seule seconde à assassiner lorsqu’elle apprit qu’il l’avait mise enceinte. J’étais le seul témoin de sa faiblesse. Et je ne cessais de lui rappeler chaque jour, à chaque fois qu’elle me voyait, moi, traitre à ma race, un demi-elfe.
Alors quand j’eut l’audace de lui demander pour la énième histoire l’histoire qu’elle n’a jamais voulu me conter, celle de mon père, elle finit par m’avouer la cruelle vérité, suivie de coups plus violents les uns que les autres.
« Ton père n’avait rien d’exceptionnel ! Ce n’était qu’un insecte que j’ai eu plaisir à écraser quand il m’a engrossé d’une malédiction ! » Ses mots qu’elle hurlait sonnaient comme un glas mortuaire. Je ne pleurais pas tant par la brutalité de ses coups que par la dureté de ses paroles.

Et puis le jour de mes sept ans, sinistre. Un inconnu vint à la maison, ma maison. Je m’y étais toujours senti chez moi malgré les mauvaises expériences que j’y ai endurée. Peut être parce que je ne connaissais pas autre chose… Et pourtant, ça allait bien vite arriver…
J’étais caché derrière la porte quand je vis ma mère se prendre un coup de couteau dans le bas ventre. Je retins un cri de stupeur qui de toute manière aurait été largement couvert par celui de douleur qu’elle poussa. Elle s’arma d’un poignard qu’elle portait constamment dans la botte pour le planter dans la carotide de son agresseur. Il s’écroula de tout son poids sur le sol de la pièce, ma mère luttant pour ne pas faire de même. Je n’avais jamais vu autant de sang, et je n’aurais jamais imaginé qu’il y en avait autant dans le corps humain.
Je couru vers ma génitrice, rassemblant toutes mes forces pour l’aider à se relever, mais une fois debout, elle me repoussa si fort que je m’étalai dans la marre de sang. Sa fierté ne l’avait pas quitté. Elle arracha sa manche et d’un geste précis et réfléchie, elle entoura sa taille du tissu pour empêcher l’hémorragie, puis sans attendre ni dire un mot, me tira dehors. Je ne pouvais résister, je savais ce qu’il allait advenir, depuis le temps que je m’y attendais… Mais entre y penser et voir la scène se dérouler devant ses yeux, la différence est cruelle. Elle me parla, doucement, sans élever la voix, comme elle ne l’avait jamais fait, mais toujours avec cette froideur caractéristique. « Ne remet plus jamais les pieds chez moi »
C’était la même nuit que celle où j’étais venu au monde. Sept mois, sept ans. Je pleurais, en silence, et le vent me gelait le visage au fur et à mesure que je voyais le paysage défiler devant moi avec la vitesse. Puis je me suis juré que ma vie commençait maintenant, que je ne pleurerais plus, un départ à zéro, une seconde chance, une renaissance…

J’avais traversé bien des aventures depuis le jour de mes sept ans. J’avais réussi à me convaincre d’oublier tout ce qui s’était passé avant, à tel point que je ne me souvenais même plus de ma mère. Mais tout le temps, j’ai fuit le peuple, demeurant solitaire, car c’est le meilleur moyen de survivre : ne compter que sur soi.
Et puis un jour, je devais avoir pas loin de seize ans, j’ai entendu de merveilleuses histoires sur un clan secret, celui des dragonniers. Leurs pouvoirs, disait-on, dépassaient l’imaginable. Ils ne craignaient même pas la mort. A partir de cet instant, je m’étais juré de tout faire pour être un jour l’un des leurs. Et j’y réussis.
Dix-sept printemps, et j’avais perdu un rein pour me lier solennellement avec une dragonne d’une noir de jais appelée Volupté. On fit un bout de chemin ensemble, surement la meilleure partie de ma vie. De merveilleuses rencontres aux quatre coins de Neverland, amis et amours… Des routes se sont croisées, on a parfois traversé bien des galères, mais ça s’est toujours soldé par un échec, cuisant qui plus est. A croire que je n’étais pas fais pour vivre heureux. Et puis un jour le trop-plein.

Une rencontre, encore… Une belle et jeune lupine que j’avais séduit malencontreusement mais sans regret. Et puis une nuit inoubliable… Une morsure… Ces souvenirs là sont saccadés, je ne sais plus bien ce que je ressenti. De la haine ? Non, de la tristesse seulement. Triste que cela finisse ainsi. Ce n’était pas de sa faute. A moi d’assumer mes erreurs de jeunesse.
Et puis d’autres souvenirs enfouis dans le malheur et la volonté d’oublier ont refait surface. Ma saleté de mère, celle qui m’avait abandonné sans scrupules, celles qui ne m’avait jamais vraiment aimé… Je me rappelais de nouveau de son visage, sombre, aux traits fins et discret. Elle était aussi belle que dangereuse.
Il fallait que je m’en débarrasse pour soulager cette peine qui me fendait le cœur, qui me tordait l’estomac à chaque fois que je faisais un pas vers l’avenir. Etait-ce vraiment moi qui pensais ces atrocités ? Ou bien la bête qui sommeillait en moi ? Je me sentais changer, sans jamais savoir qui je deviendrais. Mais je sentais que je n’allais pas vraiment aimer ce nouvel Irroüs. Il était plus noir, plus dangereux, plus souffrant également.

Je n’étais plus le seul à ne pas aimer celui qui me remplaçait à petit feu. Bientôt Volupté se rendit compte que la noirceur de mon cœur noyait la bienveillance de mon sourire, elle vit en moi un ennemi, un abcès qu’il fallait percer. Elle se montrait de jour en jour plus agressive, plus froide. Le contact qui s’était fait presque instinctivement et qui nous avait toujours suivi depuis notre rencontre agonisait à mesure que le temps passait.
Puis vint le jour de ma première transformation. La pleine lune se dévoila de tout son éclat et le monstre fit pour la première fois son apparition. Ma mâchoire s’allongea en un museau féroce et armé de dents bien aiguisées. Je sentis des poils me pousser un peu partout à une vitesse affolante, j’avais horriblement mal. Chaque partie de mon corps était une arme qui me mutilait, chaque mouvement, une torture. Et peu à peu, sans que je puisse l’en empêcher, je mutais en un une nouvelle forme de vie. L’expérience était traumatisante.
Ma transformation avait duré 17 jours et 16 nuits, sans que je puisse reprendre le dessus sur le monstre. Et puis la dix-septième nuit, mes traits redevinrent celui du demi-elfe que tous connaissaient. Mais le mal avait œuvré. Je ne savais pas comment, je ne savais pas pourquoi, je ne savais même pas quand, mais j’avais tué ma seule véritable amie.
Volupté gisait sur la terre humide, le cadavre était encore frais, on lui avait arraché le cœur dans son sommeil, et ça et là on pouvait encore distinguer des coups de griffes et de dents qui chacun auraient pu lui être fatal. J’hurlait mon désespoir, me haïssant au plus haut point. Jamais je ne me serais cru capable de faire un tel acte de barbarie. Finalement je ne valais pas plus que ma mère…

Peu après, tous les dragonniers disparurent de la surface du monde, et ce fut là l’un des plus grands mystères de Neverland. Comment l’un des plus puissants clans avait bien pu être anéanti en si peu de temps ? Bien des interrogations se posent, auxquelles je suis encore incapable de répondre. C’est une partie de ma vie qui me demeure close.

Plusieurs années avaient passé depuis cette sombre nuit. J’avais intégré le clan des nomades, remédiant ainsi à ma solitude. Bien sûr personne ne soupçonnait un instant ma vraie nature. Je savais à présent atténuer ma soif de sang. Mes transformations s’étaient fait de plus en plus rares, j’arrivais à les maitriser. J’en étais même arrivé à m’en faire un atout, une carte à abattre quand tout espoir serait perdu.
Je n’avais plus qu’une idée en tête : devenir le nouveau chef de clan des nomades. On disait que l’actuel ne se montrait jamais, peu de gens était dans la confidence de son visage. J’aimais ce culte du mystère, voilà une chose qu’on avait en commun. Et de fil en aiguille, j’avais réussi à manipuler mon entourage, à m’octroyer leur confiance. J’en étais arrivé à deviner le prochain arrêt de la suite du chef de clan. Je me rendis donc sur place, commençant mes préparatifs. Après, il suffisait de laisser agir la bête. Il n’y eu aucun survivant. Juste sept cadavres, recouverts rapidement par une tempête de sable, fidèle à la légende.
Et c’est ainsi que je devins le nouveau chef de clan des nomades. Et à l’image de mon prédécesseur, je conservais le mythe du secret, ainsi, peu de personnes connaissaient ma véritable identité et personne n’avait encore découvert les obscurs abysses de mon âme.

Maintenant à la tête d’un des grands territoires de Neverland, il n’était pas rare que les plus intéressantes rumeurs remontent jusqu’à moi. Et une en particulier retenait mon attention. Je m’étais fait de nombreux ennemis au cours de mes multiples voyages, mais encore aucun n’avait mis un prix sur ma tête.
Et voilà qu’une elfe noire suivait mes traces avec méticulosité et précision. Bien sur elle ne remonterait pas si facilement jusqu’à moi, mais le plus captivant est que cette elfe noire n’était autre que ma misérable mère. Elle me poursuivait disait-on ? Mais voyons voir qui de nous deux jouera le rôle de la proie et l’autre du chasseur à partir de maintenant…




~¤~ Armes et Pouvoirs ~¤~


Armes : Irroüs est humain la plupart du temps, il porte un longue faux dans son dos, bien qu'encombrante, c'est l'une des armes les plus efficaces dont il eut à se servir.
Dans les moments les plus critiques, il requiert à sa forme animale, et laisse donc sa faux de c^tés pour s'adonner à sa soif de sang.


Pouvoirs : Téléportation et maitrise des catastrophes naturelles


Dernière édition par Irroüs Atyckom le Sam 20 Fév - 2:52, édité 7 fois
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Pouvoirs: téléportation et contrôle des catastrophes naturelles

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MessageSujet: Re: Irroüs Atyckom   Irroüs Atyckom Icon_minitimeSam 20 Fév - 2:55

Me voilà officiellement de retour parmi vous ! Irroüs Atyckom 0101 Donc fiche prête à être de nouveau revérouillée, enfin si vous voulez toujours de moi Irroüs Atyckom 116

Edit de Clo : j'ai nettoyé ton topic de présentation, vu que c'était des vieux trucs.
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Nathaël Krey
C'est moi le chef !!!

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Race: Métamorphe
Armes: Epée massive
Pouvoirs: Contrôle/Création et Manipulation de toutes les Formes du Feu | Métamorphose

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MessageSujet: Re: Irroüs Atyckom   Irroüs Atyckom Icon_minitimeSam 20 Fév - 21:43

Ouah ste pavé, où est passé le Irrous d'antan ?

Waaaaazaaaaaaa, Irrous est parmis nous ! Je te souhaite une bonne ressurection sur Never Land à toi aussi !

Baon bah je lock ^^
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MessageSujet: Re: Irroüs Atyckom   Irroüs Atyckom Icon_minitime

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