~¤~ Général ~¤~
Nom : Oublié depuis longtemps... En a t'elle eu un jour ?
Prénom : Akanksha
Age : 16
Sexe : Feminin
Race: Humaine
Clan: Indien
~¤~ Physique ~¤~
Taille : Taille moyenne, 1m50.
Poid : 35kg
Description Physique [/b]: Akanksha est mi blonde mi chatain. Elle a de grands yeux vert emeraude, un petit nez tout fin et des lèvres tendres (ça donne envie, hein ?^^). Ses mains sont fines, et ne portent aucunes traces de travail. Elle garde ses peintures sur son visage, comme la plupart des Indiens. Sa peau est légerement dorée. Elle a un tatouage qu'elle a depuis sa naissance sur le ventre à droite, qui représente un serpent montant. Elle porte toujours ses bracelets de cuirs autour de ses poignets, ainsi que son collier. Elle est toujours habillée de peaux, qu'elle change assez souvent (quand même... !)
~¤~ Mental ~¤~
Caractère : Akanksha est une jeune fille assez lunatique, timide et réservée. En présence de certaines personnes par contre, elle peut être d'une étrange excentricité (surtout avec ceux qu'elle apprécie). Elle est très maladroite, et perd la plupart des choses que l'on lui donne. Elle fait parfois preuve de niaiserie, car elle a beaucoup à apprendre. Quand il le faut, elle est courageuse.
Votre Personnage Aime : Akanksha (je m'entraîne à écrire son prénom >o<) aime les plantes, la nature, les animaux. Elle raffole des breuvages onctueux que lui faisait sa mère.
Votre Personnage Déteste : Akanksha déteste les personnes prétentieuses, ceux qui détruisent son environnement familier.
Qualités : Akanksha est une vraie tombe, tout ce qui rentre par ses oreilles ne ressort jamais. Cela peut aussi allez dans les défauts ! Quand elle aime, c'est pour de bon. Elle est douée d'une ouïe incroyable.
Défauts : Elle est parfois niaise. Sa bonne aisance à casser tout ce qu'on lui remet lui a de nombreuses fois coûtées des tapes et autres.
~¤~ Histoire ~¤~
Akanksha est née dans la forêt, cachée par sa mère qui avait une peur terrible de son mari, elle ne pouvait sortir de du tipi. Sa mère l'avait emmené loin du campement, dans la forêt rouge. Elle grandit alors seule, avec sa mère, pendant 6 étés.
Un soir d'hiver, alors qu'elle était partie dehors, à la recherche de quelques lapins à tuer, un homme entra dans le tipi. Akanksha croyant que sa mère revenait, se retourna, armé de couteaux pour dépensé l'animal mort.
Elle resta sans voix.
Il était grand, et ne ressemblait pas du tout aux hommes qu'elle avait vu quand elle épiait les tipis d'un campement d'à côté, à la lisière de la forêt. Il lui sourit. Akanksha tenait toujours son couteau à la main, mais ne dit rien. Elle avait le présentiment qu'il ne lui voulait aucun mal, et elle se demande pourquoi. Elle l'examina de plus près. Il portait de grandes bottes en cuir, un pantalon de tissus et une veste, qui paraissait très vieille. A son baudrier pendait une arme à feu, comme Akanksha n'en avait jamais vu. Sa mère lui en avait certes parlé, mais elle avait toujours été fasciné par la force de cette arme, qui pouvait tuer si l'on visait bien.
L'homme lui tendit la main. Sans savoir pourquoi, elle s'approcha, et mis sa propre main dans la paume ouverte de l'individu. Elle ne voulait pas le suivre. Mais son corps ne lui répondait plus. Il l’emmena à travers la forêt, et parcourut le sentier qu’elle connaissait tellement, chaque arbre, chaque botte de terre lui étaient familier. Ils arrivèrent à la lisière de la forêt, là où s’entendait la mer à perte de vue. Akanksha ne su combien de kilomètres elle avait parcourut, mais la mer était vraiment bien là, devant ces yeux. L’homme parla enfin :
« Tu vois la mer Akanksha ? Bientôt, tu viendras avec moi, ma fille. »
Sans parler, il se retourna vers la forêt, et s’avança. La jeune fille du courir pour le rattraper, tellement elle avait admiré la baie marine. Cette fois, l’homme ne suivit pas le même chemin. Ils marchèrent, silencieux, pour ce qui parut des heures à Akanksha. Ses pensées se bousculaient dans sa tête : cet homme était réellement son père ? Sa mère ne lui avait jamais rien dit sur son géniteur…
Quand ils arrivèrent au campement, il sembla à Akanksha qu’elle venait de se réveiller d’un long sommeil. Elle était à la maison, sa vraie maison.