Tous les dépravés et les plus sombres bandits venant des quatre coins de Neverland finissent un jour par tomber ici, dans le sanctuaire du déshonneur et de la dépendance. Car que ça soit pour l’alcool, le sexe ou le jeu, il y en a pour tous les goûts dans la maison de passe. Que ce soit pour les maris infidèles, les riches commerçants avides d’adrénaline ou tout simplement les vieux habitués de la boisson, tous s'y retrouvent.
La maison de passe est divisée en 3 étages. Le rez-de-chaussée est formé d’un rustique bar en U au centre d’une grande pièce où s’alternent chaises hautes et sofas. C’est surement l’endroit le plus calme de cette grande bâtisse malgré les courantes divergences entre clients généreux. Le second étage est réservé aux joueurs occasionnels comme aux réguliers. Machines à sous, table de carte côtoyaient roulettes et paris. Il n’est par rare de voir ça et là des allumeuses de cigares et des serveurs à moitié nus. Ce qui nous amène au troisième étage, celui de la prostitution. Le slogan : « Il n’y a pas de pulsion sexuelle qui ne peut être comblée » est affiché dès l’entrée de l’étage. Ceci annonce la couleur. Une petite salle laisse découvrir de plus ou moins jeunes hommes et femmes plus ou moins vêtus, il n’y a plus qu’à faire son choix. Le pourboire est évidemment de coutume.
Vous l’aurez donc compris, la maison de passe a une ambiance un peu spéciale, n’est pas très silencieuse. Elle est facilement repérable dans le quartier à cause de ses lumières constamment allumés, et des bruits qui s’en ressortent. Un spectacle son et lumière assez intéressant pour tout ceux ayant quelques petits besoins à assouvir !
Merci à notre cher Irrous, fidèle à son poste au 3ième étage huhu